[PRISME] Conjoncture agricole et agroalimentaire

Retrouvez l’avis des experts Crédit Agricole sur la conjoncture agricole et agroalimentaire dans ce nouveau numéro de Prisme daté de Février 2016.

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Crédit Agricole

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Le Crédit Agricole est un des partenaires stratégiques de l’ANIA.

 

Le Groupe Crédit Agricole, par son organisation et les moyens mis en œuvre, dispose d’une expertise et de compétences agroalimentaires uniques sur le marché, avec un pôle exclusivement dédié aux marchés de l’agriculture et de l’agroalimentaire, ainsi que des filiales spécialisées par métier (capital investissement, ingénierie financière, fusion-acquisition, réseau international). Ce dispositif combinant la relation de proximité et les compétences spécialisées permet à chaque entreprise agroalimentaire de trouver une solution sur mesure à la globalité de ses besoins, que ce soit dans sa gestion au quotidien, ses financements, son accompagnement à l’international, jusqu’à sa réflexion stratégique de développement et sa mise en œuvre.

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Au sommaire du numéro de PRISME de février 2016 :

Décryptage

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  • AGROCARBURANTS : Le groupe Abengoa, menacé par un dépôt de bilan, vend ses usines d’agrocarburants
  • BLÉ : Sécheresse dramatique en Afrique de l’est et du sud, sur fond de surabondance mondiale
  • AGROALIMENTAIRE : Le Nigéria, locomotive de l’Ouest Africain pour le développement des filières de la viande
  • OGM : Campbell Soup, première grande entreprise étasunienne à opter pour l’étiquetage des OGM
  • MARCHÉS AGRICOLES : La Suisse votera fin février sur l’initiative « pas de spéculation sur les denrées alimentaires »
  • FOIE GRAS : Epizootie d’influenza aviaire : quel impact sur la filière française du foie gras ?
  • PÊCHE : La FAO aurait largement sous-estimé les effets de la surpêche, selon une nouvelle étude

LES FILIÈRES AGROALIMENTAIRES FACE AU CHANGEMENT CLIMATIQUE

cop21L’agriculture sera une des activités les plus impactées par les effets du changement climatique. Elle s’est mobilisée pour que l’accord issu de la COP21 mette au premier plan son rôle producteur et nourricier. Il est reconnu en même temps que ce secteur est un des plus émetteurs de gaz à effet de serre. Ces émissions se concentrent surtout dans l’élevage, avec d’importantes différences entre systèmes de production, bousculant certaines idées reçues. Les États, responsables des engagements pris, poussent les filières professionnelles et soutiennent des initiatives diverses (« Dairy Carbon », « 4 ‰ »…). Les entreprises agroalimentaires s’engagent également, mais plutôt timidement.

LA CONSOMMATION DES VINS ROSÉS EN FRANCE : UNE VAGUE DE FOND QUI S’EXPORTE...

vinroséLa consommation mondiale de vins rosés est portée par l’engouement des jeunes générations pour des vins faciles à boire car très aromatiques et fruités. En France, leur consommation atteint désormais 30 % des vins tranquilles, la progression s’étant réalisée au détriment de celle des vins rouges.

 

L’innovation produit a contribué à multiplier les opportunités de consommation de vins rosés, en la décloisonnant de ses codes traditionnels. De plus, la stratégie de montée en gamme conduite par quelques visionnaires précurseurs a probablement contribué au changement de statut dont ces vins bénéficient aujourd’hui.