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Souveraineté alimentaire, réindustrialisation, emplois dans les territoires, défis écologique et numérique, compétitivité à l’export, montée en gamme de l’alimentation …ces thèmes sont au cœur de la campagne présidentielle française. Le secteur agroalimentaire, première industrie du pays devant l’aéronautique, l’automobile et la chimie avec plus de 15 000 entreprises et plus de 430 000 emplois, est stratégique pour relever ces défis et inscrire la France comme une puissance économique qui puise sa force dans son ancrage local.
D’ici quelques semaines, Jean-Philippe André, Président de l’ANIA, va rencontrer quelques candidats à la présidentielle, pour recueillir leur vision et leurs principales propositions pour renforcer l’attractivité du secteur agroalimentaire autour de 4 enjeux majeurs :
- Souveraineté alimentaire
- Attractivité et compétitivité
- Transition écologique et innovation
- Surtransposition
Parce que comme pour un bon repas, la présentation est toute aussi importante que ce qu’il y a dans l’assiette, les entretiens seront restitués dans des vidéos au format original et percutant qui seront diffusées sur les réseaux sociaux de l’ANA. Une manière de découvrir à la fois les propositions des candidats et les femmes & hommes qui les portent « Dis-moi ce que tu manges et je te dirai qui tu es ».
A partir de la mi-mars, RVD sur les réseaux sociaux de l’ANIA pour découvrir la première vidéo : LinkedIn – Twitter
« L’industrie agroalimentaire, 1ère industrie de pays avec plus de 430 000 salariés fiers de nourrir les français, porte un programme ambitieux pour son pays : devenir la championne du monde de l’alimentation en 2030. Cette ambition doit s’accompagner d’une reconnaissance et d’un soutien sans faille de la part des candidats à la présidentielle qui espèrent demain diriger le pays le plus envié pour son patrimoine gastronomique et ses savoir-faire locaux. Dès mars, l’ANIA rencontrera quelques candidats pour connaître leur vision et propositions pour permettre aux 15 000 entreprises, composées à 98% de PME, de maintenir et développer l’emploi dans les territoires, de contribuer toujours davantage à la souveraineté alimentaire du pays, de gagner des parts de marché à l’export et enfin de s’engager pour une alimentation toujours plus saine, sûre, durable et accessible à tous. »